jeudi 30 septembre 2010

Retrouvailles

Belle soirée hier. Avec mon chum Quiz qui est installé à Kuujjuaq depuis une vingtaine d'années et à qui je n'avais pas serré la pince depuis cinq bonnes années. Parler de nos marmailles qui frôlent où ont dépassé la trentaine, mettons que ça fait vieillir un peu. Et l'embonpoint des interlocuteurs ne ment pas lui non plus.

Et pour compléter cette rencontre, je lui ai fait connaître ce nouveau resto dans SON quartier Villeray : le Tapeo. Il en est ressorti vivement impressionné et enchanté, notamment par ces croquettes de morue, ce tartare de boeuf et ces petits beignets trempés dans le chocolat. Mmmm et re-Mmmm !

lundi 27 septembre 2010

Question

C'est l'émission Enquête de la semaine qui m'a induit cette interrogation. L'émission portera sur des cas graves de pédophilie et autres atrocités commises chez les frères et pères de Sainte-Croix dans les environs de l'Oratoire Saint-Joseph.

Vous le savez, depuis plusieurs années, ces cas se multiplient dans les médias.

Mais, ce sont toujours des hommes qui sont montrés du doigt. Jamais, ou très rarement, ce sont des religieuses qui commettent ces crimes sexuels dégueulasses. Ça s'explique ?

mercredi 22 septembre 2010

Comparatif ...

À New-York, devant un parterre international, le PM Harper vient d'annoncer que le Canada haussera ses dons annuels aux pays pauvres à $180 millions.

Le maire Labeaume demande une contribution de $175 millions à Ottawa pour son nouveau Colisée.

Beaux éléments de réflexion ...

lundi 20 septembre 2010

C'est à ton tour !

Aujourd'hui, mon ami d'enfance Guy Lafleur a 59 ans. Il amorce donc sa soixantième année.

Alors, tous en choeur :

Mon cher Ti-Guy c'est à ton tour

De te laisser parler d'amour !


Excusez-la !

dimanche 19 septembre 2010

À la Di Stasio ...

L'animatrice s'exclame avec emphase devant un plat mélangeant riz, oignon, brocoli, zest de citron et sardines :

- Mmmmmmm ! C'est goûteux !!!

Marie-Fleur St-Pierre (resto Tapéos) lui répond :

- Ben ... kess qu'on a mis dedans, c'est ça que ça goûte !

Vive la simplicité !


vendredi 17 septembre 2010

Voulez-vous ben m'dire ...

... ce qui arrive à Pauline Marois. Quelle nounoune ! Profiter de l'ouverture du camp des Canadiens pour prétendre que cette équipe fait désormais la promotion du fédéralisme. Faut le faire !

Et les éditorialistes asservis au pouvoir (Pratte et Dubuc pour ne pas les nommer) de se gargariser en ridiculisant la madame qui patronne (très mal) le Parti Québécois. Un sujet aussi insignifiant en page éditoriale de La Presse, ça démontre l'acuité des auteurs ...

Pauline, comme dirait l'autre, au lieu de dire des niaiseries, farm' don' ta ...

Non mais ... tsé veu dzire ...

jeudi 16 septembre 2010

Cassel-Mesrine

Vincent Cassel peut être classé parmi les grands acteurs. Je l’avais remarqué tôt dans sa carrière dans le film La Haîne (Mathieu Kassovitz 1995) où, justement, la haîne se voulait omniprésente et la violence poussée à l’extrême. Plus tard, en 2002, je le remarque aussi dans le film Irréversible de Gaspar Noé qui avait cette particularité d’être monté en ordre antéchronologique. L’histoire du viol sordide de sa femme (Monica Bellucci – sa vraie femme dans la vraie vie) était montré en commençant par la fin de l’histoire pour se terminer avec le début. Film étrange et, encore une fois, très violent.

La violence est toujours présente dans ces deux films consacrés au gangster Jacques Mesrine. Vincent Cassel est évidemment omniprésent mais il a l’ampleur pour tenir la barre, ce qui n’est pas une mince tâche.

Gros budget pour ce film, la qualité des images en témoigne. Se succèdent des scènes de crimes, des scènes d’amitiés fortes, des scènes poignantes d’humanisme (oui, oui) et finalement, l’exhibition du côté mégalomane de Mesrine dans les dernières années de sa vie, à partir du jour où il fut désigné Ennemi public numéro 1 en France.

Sympathique aussi, ce séjour au Québec dans le premier film. On y relate les faits d’armes avec un bandit local (Jean-Paul Mercier) interprété par notre Roy Dupuis national. Étonnantes ces révélations sur le Centre de détention maximum très dur pour les prisonniers, centre qui fut d’ailleurs fermé après l’évasion de Mesrine et Mercier qui avaient fortement dénoncés les conditions qui y prévalaient. Incursion historique rythmée et divertissante

Pour les fans (et il y en a !), le gros Gérard Depardieu incarne le premier patron mafieux de Mesrine. Égal à lui-même le Gérard. Et ce Gérard Lanvin à la toute fin : très sympa.

Bref, pour ceux et celles qui se déplaceront au cinéma ou les autres qui attendront les sorties vidéo, un film violent certes, mais rythmé, sans longueur et parsemé d’instants très émotifs fort bien joués par Vincent Cassel. On y croit !

Vous apposerez votre propre note sur 10.

mardi 14 septembre 2010

Mesrine freak

Ce matin, je m'en vais voir les deux films sur Mesrine au Beaubien. L'un après l'autre. Quatre heures de cinoche. On s'en reparle ...

Oups ! Raté. Ça sera pour demain ...

Finalement, je suis allé voir le premier. Excellent. Le deuxième, demain pm et on en reparle ...

dimanche 12 septembre 2010

Madame la Ministre ...

À l’émission des Lionnes sur la SRC, je viens de voir Line Beauchamp (récemment nommée ministre de l’Éducation). Ça m’a rappelé cette anecdote survenue il y a 5 ans je crois. Ma gang de l’Avenue du Mont-Royal procède à un lancement au deuxième étage d’un resto populaire du Plateau. Au premier étage, juste avant l’escalier qui monte au deuxième, une table et une chaise pour l’accueil des invité(e)s. Anissa les reçoit et s’occupe des manteaux d’hiver de tous et chacun qu’elle place soigneusement avec numéro dans le placard à l’arrière.

Soudainement, Anissa a besoin d’aller ailleurs (toilette ou cigarette, je ne sais trop) et me demande de la remplacer, ce que je fais de bon cœur.

Arrive alors Line Beauchamp, alors ministre des Affaires Culturelles, avec quelques attachés politiques. On la dirige vers ma petite table. Je me lève pour l’accueillir en lui disant un bô « Bonsoir madame la Ministre ». Elle me sourit en retirant son manteau.

Vous me connaissez : faut que je fasse une connerie.

Je lui lance simplement : « Désolé madame. Nous n’avons plus de place. Vous auriez dû arriver plus tôt … ».

Devant son air éberlué, je n’ai mis que quelques secondes avant de la rassurer avec un sourire et le classique : « C’était une blague ».

Mais elle avait quand même mordu à l’hameçon …


vendredi 10 septembre 2010

La campagne brièvement

Tournoi de golf de la Brasserie Beauharnois demain. Journée radieuse (les météorologues l'ont promis ...) avec quelques chums au club de New Glasgow dans les Basses-Laurentides. Une aubaine : pour $50, le déjeûner, le golf, la voiturette et le souper au retour à la brasserie sur Saint-Laurent. Les bières subséquentes sont à nos frais ...

Je n'attends pas un score exceptionnel puisque ce n'est que ma deuxième ronde de l'année et que le bonhomme ... il vieillit ! Je ne demande qu'à la krisse de "goutte" de me laisser tranquille pour cette belle journée.

mercredi 8 septembre 2010

Pourquoi je détestais Claude Béchard ...

Parce qu'il était trop bon, parce qu'il était excellent et surtout ... parce qu'il jouait pour l'équipe adverse. Je n'aimais pas que ses bons coups mettent du baume sur l'insignifiance de Jean Charest.

Et quand j'y pense, je me dis que ce nationaliste dans l'âme aurait fin un excellent chef ... pour remplacer Pauline !

Monsieur Béchard, je vous souhaite un excellent parcours dans l'au-delà.

lundi 6 septembre 2010

La calvitie et ... les enfants

C'était à Labelle dans les Laurentides, ya une bonne vingtaine d'années. J'étais dans une chambre chez mon pote Hubert avec nos deux fils âgés d'environ 10 ans. Mon JF bien sûr et ce grand Francis, presque du même âge mais beaucoup plus grand.

Soudain mon fils me dit : "Pa ! Francis est un peu gêné de te le demander lui-même alors je vais le faire. Comment ça se fait que t'as perdu tes cheveux ?"

La chose semblait les intriguer fortement. Alors j'ai regardé Francis directement dans les yeux et avec insistance dans le visuel et la confidence, je lui ai avoué : "C'est parce que quand j'étais jeune, j'ai grandi trop vite et je suis passé au travers de mes cheveux ..."

Me souviens encore de la face paniquée du "grand" Francis ... que j'ai évidemment rassuré dans la minute qui a suivi.